« L’imaginaire romain situe donc la force
perverse de la sexualité orale dans le fait que la bouche du citoyen était
l’organe de l’orator. En souillant sa
bouche par des contacts génitaux, le citoyen pervertit aussi toute communication
orale par la puanteur de ses paroles. Il repousse loin de lui ses concitoyens,
qu’il agresse de son haleine comme il les agresserait par des paroles
obscènes. »