Moi attendant l’ouvrier qui est venu sans venir, à la chaleur du four ouvert de la cuisine, en profitant pour fumer ma première cigarette du vieux tabac trop fort, tabac de secours de mon tiroir, tout en entamant Le Voyeur, lisant sans lire car j’attends l’ouvrier, et, quoi que j’en dise, il y a toujours sous forme de sous-couche, une plaque bien solide de mon esprit qui s’appelle « maman »...

 

16 janvier 2006