Je veux ranger Le grand nocturne, n’y parviens pas à cause du Ray d’Henry Vernes qui a pris sa place. Tout est serré au maximum et le seul moyen est d’épurer. Alors je survole les dos, je vois Rey, Rilke suit de peu et, plus loin, Luise Rinser, Myriam et La joie parfaite. Je n’en ai pas le moindre souvenir et les commentaires que j’ai laissés du premier sur le site n’en réveillent aucun (et il en ressort que ça ne m’avait pas emballé). Quant au second, il n’y figure pas malgré son ex-libris de novembre 1989. Je vais jeter un œil dans le journal à cette date. C’est fait, il n’y a rien. Au nom de l’absence de souvenir, je vais donc m’en séparer, ainsi que du premier…

 

18 juin 2016