Je suis rentré exténué, ai retrouvé Ééonore face à son écran en train d’alterner entre sa boutique et une énième traduction. Elle est revenue des firloupes avec une multitude de choses, dont, bien sûr, des livres. J'ai passé un moment avec elle avant de m'installer dans le sofa noir où j'ai tenté de reprendre La guérison des maladies ; j’ai du mal à y accorder mon attention. Éléonore n’a pas très bonne mine...
11 septembre 2006