Griffonné sur un bout de page dans l'après-midi : « Je pense à Cioran, je pense à Jean-Stéphane. Je pense que moi aussi j'écris la souffrance. Mais en l'écrivant, je sais qu'elle a un pendant qui se nomme foi et espoir. Cette foi et cet espoir existant, je les exprime. S'il n'y avait que la souffrance, je n'écrirais pas... »
4 octobre 1996