Les lettres à « Mimi », puisque c’est ainsi qu’il l’appelle, sont suivies de trois lettres à son frère, frère de Mimi, dont l’une, la seconde, admirable, que j’ai relue deux fois, dont le sens pourtant m’échappe : laissez-la vivre, laissez-lui du temps, écrit Rilke au frère, tout se passant comme si la famille – le frère, la sœur – faisait payer à l’aimée l’amour que Rilke lui portait…

 

28 septembre 2001