Je n’ai pas parlé du second texte « policier » de Ray, Les vengeurs du diable. Du grand Guignol, et je ne sais jusqu’où va son sourire lorsqu’il écrit cela (je relève une variante au supplice des cent morceaux qui s’appelle ici le supplice des vingt-quatre heures :… je ne le retrouve pas)…
2 juin 2016