Notes :
13 pillow book
« […] peu à peu, il constituait ce que la tradition japonaise avait nommé “ le livre de l’oreiller ” : ce présent qui consistait en un petit “ oreiller ” en bois laqué où étaient serrés des poèmes, des jeux, des conseils érotiques, et que les amoureux s’offraient entre eux. Le premier livre de l’oreiller avait été écrit au début du XIVe siècle afin de parfaire l’éducation amoureuse des amants. »
33 approprier
« Et chaque jour passé dans ces lieux avait vu
Kosaburo les
méditer, se les approprier, les uns après les autres […]. »
C’est-à-dire ?
137 suppuku
« Du moins, puisqu’il était mortel comme tous
les autres, ne pouvait-il
se faire seppuku dans son palais impérial ? » Il s’agit d’Hiro Hito. En effet…
Qu’est-ce qui pousse une femme à se mettre dans la peau d’une autre femme qui se met dans la peau d’un kamikaze ? (Et c’est son premier roman.) Tout en lisant, je me demandais comment pourrait être perçu ce texte par des Japonais (et l’imaginais écrit par une Japonaise)…
La réponse est donnée dans l’épilogue, et
j’ai
immédiatement fait le parallèle avec Forest…