Parmi les livres d’hier chez Restore, il y en avait un en italien, Rilke, Storie del buon dio. Si j’en crois le début de la préface que j’ai survolée – ne jamais lire une préface avant le texte –, ces histoires feraient partie des rares textes en prose qu’il ait écrits. J’en ai lu deux hier soir face à la télé au son coupé ; mais mes yeux se fermaient, je n’ai pas tout « compris ». J’ai lu la suivante ce matin ; ça allait beaucoup mieux, mais tout cela me semble bien étrange (quoique plaisant). (Je pense à Chesterton, j’ignore pourquoi.) J’ai vu que l’une de ses histoires se passe à Venise…

 

4 avril 2019