Ce matin, j’ai entamé Le Labyrinthe pour le poursuivre au soir face à la télé sans son. C’est froid, clinique, emberlificoté ; c’est du nouveau roman pur jus, c’est du Robbe-Grillet. Je lis cela sans ennui, mais en même temps à très haute altitude. Je lis sans lire, je laisse mes yeux aller.
10 mai 2012