Ce cahier est identique à ceux que j’utilisais à Billy ; ils ne font pas beaucoup d’efforts pour m’y transporter (la différence, c’est que j’utilisais un feutre, et je m’aperçois que ce papier légèrement glacé ne convient pas du tout à la plume et à ma main ; ni l’épaisseur du cahier et sa reliure dure). Je viens d’achever Les fiancés de Venise, à deux jours du départ. Je ne l’ai pas fait exprès, ni de choisir ce livre, ni de le terminer avant le départ. Ça m’a beaucoup plu, l’intrigue, les personnages, la structure, l’ambiance générale, et c’est suffisamment bien écrit pour que je l’oublie ; Dona Leon n’est qu’une crotte. Je vais tâcher d’en lire d’autres de lui (il y est fait mention d’un autre roman qui semblerait se situer aussi à Venise avec le même Tron – poète, qui plus est). J’ai été, pendant ces quelques heures, à Venise sous domination autrichienne. C’est bien. Je peux juste déplorer quelques termes qui me semblent anachroniques, comme « optimiser »)… J’ai écrit à Benvenuta, demain j’imprime les « check in » ; dans deux jours, nous partons...
26 mars 2015