Je sors de Congo, passionnant, l’histoire en soi de ce « pays », mais aussi grâce au traitement, sorte de reportage, documentaire, où s’imbriquent dans la relation des faits les témoignages qu’il a recueillis, une part de sa vie personnelle ; dommage qu’il y ait de grosses bourdes de la part de la traductrice qui ferait bien de revoir son français. (Pendant la lecture, j’ai échangé quelques vidéos avec Sosthène, voir page 288 et Jamais Kolonga : « Entrez Jamais Kolonga dans youtube… » C’est ce que j’ai fait, sur mon nouveau portable que providentiellement j’avais dans la poche de ma veste, c’est si rare : poser le livre, afficher la vidéo et l’envoyer à Sosthène – de ce fait, j’ai repensé à ce que j’avais entendu à Banzzai, un groupe australien étonnant – en tout cas, le titre diffusé : j’avais griffonné le nom et le titre en marge de ma grille de mots croisés, l’ai affiché, réécouté et envoyé à Sosthène qui m’en a envoyé une autre, Owen je ne sais plus qui). (Wildlife, The magnificent Moon pour le premier, Owen Pallett, This is the Dream of Win and Regine.) Mais que va-t-il bien se passer, à présent ? J’en suis à l’indépendance, 1960, page 294, et il en reste encore cinq cents jusqu’à l’an 2000...