p. 103

« Le nécessaire, c’est le passé, le passif de l’être […]. »

Ce que je relève et qui m’apparaît d’une manière éblouissante, c’est la distinction entre passé et passif. Voilà le terme adéquat et idéal : le passif, qui désigne le passé tout en le rejetant, tout en le faisant quantité négligeable et pour tout dire : inexistante. Ce qu’il y a au nom (??? illisible) du passé qui n’existe pas. Ou du moins qui n’est qu’une illusion, c’est le passif, c'est-à-dire étant opposé à actif, ce qui est immobile, arrêté. C’est-à-dire quelque chose d’assis, qui regarde, observe sans broncher, sans avoir ni action, ni influence sur un actif (présent, actuel) tout en y participant, tout en étant utilisé et utilisable

(un outil, un ustensile, en somme).

106

SUBSUMANT

(pré-sumer : quel est ce « sumer » ?)

...