Courts poèmes d’Elias Hanna Elias, traduits de
l’arabe. Convenus. Puis de Gilles Quinsat « Images
mortifiées », à propos du maniérisme ; pas fini. Puis « Enfermé
dehors », quatre choses de prose poétique (autre mot ?) qui ne me
disent rien. Par contre, « Fragments iconoclastes » me touchent,
émoi, espièglerie et humour (Jean-Michel Maulpoix). J’attaque « Chef
de gare » de Jacques Géraud (à noter la maquette particulièrement
rebutante)…
25 avril 2002