« Aux confins surabondants généreux vertigineux de la conscience, il y a non l’illusionnisme du doute, subterfuge spéculatif gérant confortablement l’écartèlement de la conscience par la séparation dualiste de la raison et de la volonté, de la pensée et de l’action, de l’intériorité subjective et de la raison objective, du sujet et de l’histoire […]. »

 

Le fait-il exprès ?