Dans la foulée, le premier (ou second ?) : Cordel de la fin du travail de Ronaldo Rogério. En sous-titre : la mort du capitalisme. Timothée m’a expliqué qu’il s’agissait d’un poète brésilien avec qui ils avaient des contacts. Poème à tendance politique, je m'en serais douté, qui, bonne idée, est présenté en version bilingue, portugais à gauche, français à droite. Pas de mention du traducteur et, si j’ai bien compris, il s’agirait d’une traduction récupérée je ne sais où que Timothée aurait remaniée. J’ai trop perdu du portugais pour juger de sa qualité. Ce texte a été déclamé lors d’une rencontre de Critica Radical le 22 mars 2003 à l’Institut philosophique de Praxis, rue Pache Mororo, 952, centre, Brésil. La gravure de couverture est de Timothée. Cette fois, c’est complètement politisé et j’ai du mal à coller le mot « poésie » à ce type de texte...

 

16 septembre 2006