Je veux ranger Ray, n’y parviens pas à cause du Ray d’Henry Vernes qui a pris sa place. Tout est serré au maximum ; le seul moyen est d’épurer. Alors je survole les dos, et je vois Rey. Il y en a cinq ou six et me revient le plaisir que j’ai eu à les lire ; je me retrouve alors face au même dilemme qu’avec les Himes : faut-il conserver des livres dont la seule trace dans ma mémoire est celle d’un plaisir de lecture ?...
18 juin 2016