Étrangement, je n'ai pas relevé la réflexion sur le temps, page 188. Voici ce qu'il dit : « Le présent, c'est le vivant, c'est la lutte vivante entre ce qui est passé et ce qui est à venir. C'est l'agonie du passé qui se mêle à la prédation de ce qui surgit. » C'est défendable, et presque juste. Mais il ne peut y avoir agonie puisque le passé est complètement vif et vivant (le présent l'étant) ni prédation puisque le présent ne saurait être proie : c'est lui le prédateur et ce qui surgit la proie...
23 janvier 2011