Il achève, après Terrasse à Rome, de me réconcilier avec lui, encore qu'il s'agisse d'une histoire rapportée, celle de Monsieur de Jaume, XVIIe siècle, Lisbonne, histoire telle qu'elle est racontée par les carreaux de faïence du palais Frontiera à Lisbonne. Étonnante et tragique histoire... Deux notes : « Il lui montrait le claverici », p. 11, qui me fait me demander ce qu'est un CLAVERICI jusqu'à ce que je me rende compte que le second point du « i » n'en est pas un, mais une tache sur le papier, et c'est CLAVECIN qu'il faut lire… Puis p. 18, ce passage : « Il faisait écrire à son père des lettres pressantes, parfois menaçantes, non pas pour qu'on la lui donnât, mais afin qu'elle ne fût accordée à personne. » Parallèle immédiat avec la V*** des premiers jours qui m'avait fait écrire, en substance : « Je ne la désire pas, et pour rien au monde, je ne la toucherais, mais pour rien au monde, je ne voudrais que qui que ce soit la touche... »

 

30 mai 2000