« Vapeur résoute en petites gouttes d’eau le long de la paroi du crâne. »

 

Bescherelle, p. 152, note 4 : « Résoudre […]. Le participe passé est résolu : j’ai résolu ce problème. Mais il existe un participe passé résous (fém. résoute très rare) qui n’est usité qu’en parlant des choses qui changent d’état : brouillard résous en pluie.) » 

 

Voilà qui convient bien à l’ambiance et au ton général, mais, bizarrement, pas au narrateur. Ces mots rares dans sa bouche jurent, détonent, d’autant qu’il accumule les fautes de grammaire (mais c’est une sorte de journal – quoique). Est-ce volontaire de la part de Guignard ?