Je le reprends et poursuis avec un intérêt qui ne fait que s’accroître. Un mot relevé me fait tout reconsidérer : « malice ». Voilà de quoi il s’agit : de malice. Carus relève de la brillance et de la malice. Du coup, je souris. Jusqu’où Q. se prend-il au jeu, je l’ignore, mais il est un fait que vu sous cet angle, le texte prend une autre dimension, même si les joutes savantes restent pour la plupart laborieuses. Mais cela fait partie du jeu ; jeu également autour du caractère journalistique dont Q. semble s’amuser, ne s’interdisant pas des facéties et des fantaisies. J’y retourne… (Ne pas oublier que « carus » signifie « cher ».)

 

23 mars 2006