Lorsque je suis rentré, tout était calme dans la cour des voisins. J’avais deux heures et demi devant moi. J’ai poursuivi la lecture du Proust avec toutes mes pensées en direction de Venise. C’est dire que je n’ai pas retenu grand-chose. En même temps, ça ne m’intéresse pas. Je suis sûr qu’il y a quinze ou vingt ans, ce livre m’aurait passionné. Aujourd’hui, je n’y vois pas beaucoup d’intérêt, voire aucun...

 

17 juin 2010