Sous le tambour de la pluie contre le toit de la véranda, j'ai lu les premières pages de Vineland. Est-ce le tambour ? est-ce mon indisposition – encore légère ?... Toujours est-il que ces pages m'ont paru tout bonnement incompréhensibles. Je sais que l'écriture de Pynchon est relativement ardue, mais à ce point, c'est effarant. Je vais vérifier aussitôt ces lignes achevées...

4 juillet 1990