J'en suis aux trois-quarts, ne poursuis que parce qu'il s'agit d'italien ; mais je possède d'autres ouvrages

en italien qui certainement méritent davantage mon temps et mon attention. J'arrête donc là... Quelques notes :

 

Les syllabes soulignées, la marque de fin de paragraphe,
traces d'un précédent lecteur, d’un bout à l’autre du livre...

 

Le « i » noté « j » (ajuto, par exemple, ou noja, corridojo, bujo) comme en latin.

 

Les syllabes : à quoi cela peut-il correspondre ? Je lis en ne pouvant empêcher mon œil de s'y arrêter et d'en chercher la raison d'être. Je pensais au départ, comme la logique le voudrait, qu'il s'agissait des accents toniques en antépénultième ; mais non. Exemple : l’avant-dernier paragraphe de la page 8 : il en figure un grand nombre et seul provvederla, accentué ordinairement en pénultième, est marqué. Pour quelle raison ? Ou, trois lignes plus bas, di de brevidi qui ne correspond pas à l’accent porté sur vi... Ou sont-ce les mots inconnus ? Dans ce cas, pourquoi ne pas souligner le mot en entier ? Ou alors marquer telle syllabe plutôt qu'une autre ?

 

Les mots barrés.

 En effet, certains mots sont biffés d'un trait oblique, comme libracci p. 105...

 

26 juin 2000