Je lis Lanterne magique de Picasso, face à la baie vitrée dans le fauteuil bleu et je n’entends pas la mer. Il n’y a pas le moindre bruit, comme si ce magnifique texte avait tout annihilé, au-dessus, dedans, devant, dehors, il n’y a même pas une voiture qui passe... C’est le dernier texte, c’est le plus beau (une voiture vient d’être mis en route, les vagues ont repris leur cadence – ca danse, K danse)…
3 novembre 2016