Je lai retrouvé en date du 25 octobre 1990,
c
est-à-dire avant la lecture de Ste Beuve :

« Ai acheté le BAM de ce mois. Avec le supplément Spécial USA, à l’occasion de la FIAC à Paris. Le parallèle entre Pollock et Monet, recherche de la série, répétition d’un même thème à l’infini, m’a fait penser qu’il pourrait être intéressant d’appliquer cette « formule » à l’écriture : transposer les Nympéas, ou les Peupliers, à l’écrit. Qu’est-ce que cela pourrait-il donner ? Choisir un thème, si possible le + grand de tous. Pas l’amour, ni la mort, ni la souffrance… Celui qui résumerait tout : la rencontre. Rédiger un texte autour de ce thème, sur ce thème. Si possible, rapide, vif, court. Impressionniste (à propos : j’ai découvert tout récemment Vuillard). À partir de là, voir. Le réécrire. Et puis ? Et comment ? »