Journée molle, je me traine, suis épuisé, sans raison particulière, à moins que ça ne soit ma sortie en ville, poste, Flint, pharmacie et remontée par notre rue qui m’a exténué. Après le Flint, je me suis arrêté à l’Horizon où j’ai pris ma commande, le Proust de Lago. Je ne l’ai même pas encore regardé, il est toujours emballé dans son plastique ; la dame (pas la libraire, l’autre – elle dit « la responsable ») avait proposé que je le découvre avant de l’acheter – elle était au courant –, j’avais dit que ce n’était pas la peine, je le prenais…