Je l’ai avalé dans la soirée. Je ne vois pas bien ce qu’on reproche à Prévert (qu’à présent, je relie immédiatement à ce qu’en a dit Houellebecq à une époque). Il y a des choses très belles, et il est libre. Je le sens comme un homme libre. Et j’aime bien ses
collages ; il y en a cinquante-sept, malheureusement desservies par le format et la reliure…