« Des textes de Julien Gracq regroupés dans Lettrines, on s’assure qu’ils sont les exemples les plus accomplis qu’on puisse trouver d’une littérature peinte. Qui peut nier qu’il n’est pas une expression, un adjectif qui, ici, n’ait été recherché avec soin et placé à la manière d’un peintre disposant ses couleurs sur la toile ? Dans le même temps, on se dit que ce texte fournit la définition la plus adéquate qu’on puisse trouver de la littérature, laquelle s’énonce ainsi : fait partager le plaisir que l’écrivain a pris à écrire. »