« […] son asthme, son “ manque de volonté ”, sa frilosité maladive, son rapport à l’argent aussi, tout cela est bien connu, et constitue, avec d’autres, les divers signes d’une névrose dont il était au demeurant très conscient. »

 

Il n’est pas linguiste, il est psy, mais un psy d’une drôle de sorte puisque le propre de la névrose, si je ne m’abuse, est d’être une maladie dont la victime n’a pas conscience. Proust n’était donc pas névrosé