Petit déjeuner, tartines au miel ; il n’y a plus de céréales et j’ai eu la flemme d’aller en acheter. Soleil magnifique. Des bricoles au courrier… Je me suis couché à l’aube : je voulais absolument terminer The Prestige. Impressionnant, notamment les dernières pages qui se déroulent dans un caveau avec des cercueils, des spectres, des prestiges. Une heure plus tard, j’ai été pris de rêves épouvantables dont j’ai eu beaucoup de mal à me sortir, puis, une fois éveillé, à me débarrasser. Je t’ai appelé plusieurs fois, mais tu n’as pas répondu… Que lire ensuite ? Après cette expérience de magie de quatre cents pages et en anglais, je me suis dit que je continuerais bien sur ma lancée, c’est-à-dire de la littérature facile et en anglais. Mais quoi ?...

 

13 juillet 2001