Le premier est un scénario que
j'ai davantage survolé que lu
(je cherche toujours aussi désespérément le titre en français
de ce film,
dont le nom en anglais m'est familier).
Le second est un oratorio, du moins son texte. Ça ne m'a guère
emballé. Une recherche de la musique s'impose ; mais la longue introduction
est très « intéressante »
(quand vais-je me décider à proscrire définitivement cet
adjectif bâtard ?) au sujet de la violence, de la guerre, du
changement du comportement humain face à l'arme, face au monde
armé ; le newtonien opposé à l'einsteinein (barbare) ; mais McEwan semble pourtant bouder cet axiome premier,
essentiel, voire primordial : le monde est soi...
Penser à lui écrire...
11 avril 1997