Me revoici revenu au bleu nuit et au Stipula – qui, finalement, fonctionne ; le réservoir ne bouge plus et je peux le remplir normalement (mais avec beaucoup de précaution). Il fait très chaud, au point que j’ai fui le grenier pour me réfugier dans le salon au milieu des boîtes de livres qui m’entourent – j’ai dû en bouger une demi-douzaine pour me faire une place… Je n’ai pas la moindre énergie. J’avais prévu d’aller imprimer Les rêves, puis d’acheter des lys (Éléonore rentre demain – elle est à Mola, dit qu’il fait moche et froid) et enfin chez Emmaüs ; j’ai bien peur que je ne ferai rien de tout cela. Hier, j’ai fait les livres de juin pour le site, soir, un peu de télé bête, Albertine que j’ai achevé. J’ai aussitôt enchaîné avec Le temps retrouvé (toujours chez Garnier-Flammarion avec, comme support, un exemplaire en Folio qui sort de je ne sais où). C’est la fin qui m’y a incité, en ce sens où celle de Flammarion est différente de celle de Folio (c’est-à-dire La Pléiade) : celle de Folio s’arrête deux ou trois pages avant et, d’une certaine manière en lisant celle de Flammarion, j’étais déjà dans Le temps retrouvé… (Il serait tout de même bon que tout le monde se mette d'accord sur une version « définitive » identique...)
4 juillet 2018