Feedbooks : « Ces idées, tendant, les unes à diminuer, les autres à accroître mon regret de ne pas avoir de dons pour la littérature, ne se présentèrent plus à ma pensée pendant les longues années que je passai à me soigner, loin de Paris, dans une maison de santé où, d’ailleurs, j’avais tout à fait renoncé au projet d’écrire, jusqu’à ce que celle-ci ne pût plus trouver de personnel médical, au commencement de 1916. Je rentrai alors dans un Paris bien différent de celui où j’étais déjà revenu une première fois, comme on le verra tout à l’heure, en août 1914, pour subir une visite médicale, après quoi j’avais rejoint ma maison de santé. »
GF : « Ces idées, tendant, les unes à diminuer, les autres à accroître mon regret de ne pas avoir de dons pour la littérature, ne se présentèrent jamais à ma pensée pendant les longues années où, d’ailleurs, j’avais tout à fait renoncé au projet d’écrire, et que je passai à me soigner, loin de Paris, dans une maison de santé, jusqu’à ce que celle-ci ne pût plus trouver de personnel médical, au commencement de 1916. Je rentrai alors dans un Paris bien différent de celui où j’étais revenu une première fois, comme on le verra tout à l’heure, en août 1914, pour subir une visite médicale, après quoi j’avais rejoint ma maison de santé. »
Je serais tenté de penser que la version de Feedbooks est l’une de celles d’avant La Pléiade et je ne comprends pas comment il se fait que ce passage y figure, même sous une forme différente, alors qu’elle est absente de Folio, donc de La Pléiade…