« La cuisine est l’une des clefs qui ouvrent le
dédale
savamment ordonné d’À la recherche du temps perdu. »
Elle est anecdotique, prétexte des tablées dont
il fait la description.
Ce sont les mangeurs qui sont importants, pas la
mangeaille. (À la réflexion, ce titre a aussi quelque de
chose de ringard.) Là encore, je suis un peu trop vif, me trompe un
peu. Je m’en suis rendu compte en lisant les multiples extraits qui émaillent le
texte. Je n’avais (n’ai) vraiment pas le souvenir de ce foisonnement de détails
consacrés à la nourriture et à la cuisine. (Prétexte à tout relire, enfin...)