Pour je ne sais quelle raison, j’ai tiré de la souffrance The Inverted World de Priest. Il y était depuis des années, j’aurais pu jurer que je ne l’aurais jamais lu. Je l’ai entamé hier, le poursuis aujourd’hui. C’est prenant, j’y prends beaucoup de plaisir. J’attends la suite avec impatience… (Je n’ai jamais lu ce texte quasi culte ; en même temps, y traîne quelque chose de familier ; l’aurais-je lu, il y a fort longtemps, en français ? (Le monde inverti, il me semble…)

 

26 mai 2018