J’ai beaucoup lu, dont Guermantes, au matin, puis au soir après le repas. J’en suis au long passage consacré à la soirée chez les Guermantes avec le développement sur la « rivalité » entre les Courvoisier et les Guermantes ; c’est somptueux, admirable, pas moins. Toutes les dix lignes, je lève les yeux pour les fixer sur un point au-delà des murs comme pour m’assurer que de l’autre côté ne se trouve pas la certitude que je ne rêve pas