Après le repas, je me suis installé à côté d’Éléonore devant la télé ; elle y regardait je ne sais quel jeu mettant en scène de pâles et tristes naufragés, j’écoutais le troisième acte de La fanciulla qui m’a proprement électrisé. Magie de la musique, de cette musique-là, de cette forme-là de musique (et tant pis pour « magie » que je m’étais juré de ne plus employer)…

 

8 août 2003