p. 237 : supplice de l'adultère (note)
« On exposait l'adultère à la fureur des cornes d'un taureau,
pour en avoir fait naître... »

p. 249, 251 : des besoins naturels
« Je ne crois pas qu’il y ait un plus grand tourment que de retenir un vent, et Jupiter, tout puissant qu’il est, ne peut pas nous empêcher de lui donner la liberté. [...] je n’ai jamais empêché personne de faire à table tout ce qui a pu le soulager ; aussi les médecins défendent absolument que l’on se retienne. [...] Croyez-moi, quand les fumées des entrailles nous montent à la tête, elles se débordent ensuite sur le reste du corps ; et je sais que plusieurs personnes sont mortes pour n’avoir pas avoué qu’un vent les réduisait à l’extrémité. »

p. 251 : « boire à petits coups et souvent »
siroter, en somme

p. 333 : le loup...

14 juillet 1997