Au soleil de la loggia, j’ai lu quelques pages de Perec en fumant ma première cigarette et en levant régulièrement le regard pour le poser sur la plage livrée à la marée basse. Prétexte à l’énumération, au répertoire, à l’inventaire chers à Perec. La première question que je me suis posée est : qu’est-ce qui est vrai, qu’est-ce qui ne l’est pas ? J’ai entamé quelques recherches, notamment à la page 30 et 31, elles n’ont abouti nulle part (sauf à un énigmatique Voyage d’agrément de Jean-Luc Cheval, j’y reviendrai). Plus loin, apparaissent des noms réels. Qu’a-t-il inventé ? (Il n’a pas nécessairement inventé.)