
Je viens d’achever la première partie de mon
étude comparative sur le journal de Pepys. Le premier volume de l’édition
de 1953 s’arrête au 31 mars 1665. Le second volume de l’édition de
1930 du même éditeur débute le 1er janvier 1665. C’est là que, bien obligé, je vais reprendre cette
étude. Mais auparavant, je pense qu’il est préférable de faire tout le
report des notes… (À noter que l’édition de 1930 comportait deux
volumes et celle de 1953, revue et « recomposée »
[« reset » ?], trois volumes. Dois-je en conclure
que la seconde édition est plus fournie ?) (Pas
nécessairement car le second volume de celle de 1930 comporte pas moins de
sept cents pages. Je peux imaginer que le premier en faisait autant ;
c’est-à-dire, pour l’ensemble : mille quatre cents pages.
Quant au premier volume de l’édition de 1953, il en comporte cinq cents.
Suivant les mêmes probabilités et le même calcul, j’en arrive à un nombre
équivalent de pages. Quoi qu’il en soit, il y a gros à parier que celle
de 1930 – qui est une réédition, la première publication est de
1906 – a dû davantage se frotter à la paire de ciseaux et à la
gomme. De belles découvertes en perspective…
20 juillet 2001