Mais
au XXe, aussi bien, après tout :
la censure, du moins en France, et il en allait certainement de
même en Angleterre, était encore très active dans les années soixante ;
voir les mots « grossiers » transformés en points de suspension,
principalement dans les genres populaires. (Ce qui, du reste et
d’une certaine manière, est paradoxal, puisque
c’est ce lecteur-là qui était et est plus à même
d’employer ce langage-là.)