Le 13 janvier :

« Stopped at Martins my bookseller, where I saw the French book which I did think to have had for my wife to translate, called L’Escholle de Filles ; but when I came to look into it, it is the most bawdy, lewd book that ever I saw, rather worse then Putana errante – so that I was ashamed of reading in it. »

 

« Me suis arrêté chez Martin mon libraire, où j’ai vu le livre français que je pensais prendre pour que ma femme le traduise, appelé L’Escholle de Filles ; mais lorsque j’ai jeté un œil dedans, je me suis aperçu que c’était le livre le plus paillard et le plus lubrique que je n’avais jamais vu, pire que Putana errante – à ce point que j’ai été honteux d’en avoir lu des passages. »