Je continue à lire Pepys scrupuleusement. La journée du 10, que j’ai lue cette nuit – nous étions bien le 10, mais il est plus logique de lire la journée qui vient de s’écouler, ce que je fais d’ordinaire (mais celle-ci est si courte qu’il était difficile de la laisser passer) –, m’a fait éclater de rire (de la stupidité du journal – mais de son charme, aussi – et j’en sais quelque chose)…
10 mai 2013