Cette note, ainsi que les trois suivantes, doit précéder ma décision de cocher directement les passages intéressés sur les pages elles-mêmes (grande première dans mon existence de lecteur). En l’occurrence, il s’agit du 1er janvier 1660, la page d’ouverture du journal (les passages en italiques sont ceux qui ne figurent pas dans la première édition) :

« Blessed be God, at the end of the last year I was in very good health, with any sense of my old pain but upon taking of cold. I lived in Axe Yard, having my wife and servant Jane, and no more in family then us three. My wife, after the absence of her terms for seven weeks, gave me hopes of her being with child, but on the last day of the year she hath them again. »

 

« Dieu soit loué, à la fin de l’année écoulée, j’étais en très bonne santé, sans plus rien sentir de mon vieux mal bien qu’ayant pris froid. J’habitais dans Axe Yard, avec ma femme et Jane ma servante, et personne d’autre dans la famille que nous trois. Ma femme, après une absence de ses règles pendant sept semaines, m’a donné l’espoir qu’elle portait un enfant, mais en le jour dernier de l’année, elle les a eues de nouveau. »