« Retour à la maison, où j’ai envoyé chercher W.
Hewer, et lui et moi sommes partis en bateau pour
Whitehall. Mais là, étant avec lui dans la cour, comme Dieu l’avait
voulu, j’ai espionné Deb, ce qui a fait battre ma tête et mon
cœur ; et bientôt je n’ai plus pu tenir, et ai envoyé W. Hewer chercher Mr Wren (W. Hewer,
je l’ai perçu, l’avait vue, mais s’il m’a vu la voir je
ne sais pas, ou s’il a eu des soupçons quand je l’ai renvoyé, je ne
sais pas) mais mon cœur ne pouvait m’arrêter. Et je lui ai couru
après, elle avec deux femmes et un homme, des gens plutôt ordinaires, et elle
dans ses vieux habits ; et après l’avoir poursuivie un moment, je
les ai retrouvés dans l’entrée de la chapelle sous les escaliers ;
et là j’ai remarqué qu’elle essayait de m’éviter, mais je lui
ai parlé et elle m’a parlé, et je l’ai para docere
ou elle demeures à présent. Et je lui ai
ordonné para ne rien dire de ce que j’avais vu elle ;
ce qu’elle a promis ; et alors, le cœur plein
d’étonnement et de désordre, je suis parti ; et rencontré
Sir H. Cholmiey, avec qui j’ai marché
dans le parc, cherchant à voir si je pouvais encore l’espionner dans le
parc, mais je n’ai pas pu. Et alors retour à Whitehall, et de là retour
au parc avec Mr May, mais je n’ai plus pu la voir ; et alors
avec W. Hewer, qui n’a pas dû,
d’après mon comportement, voir quelque désordre en moi, suis rentré en
bateau. Mais, et que Dieu me pardonne, je ne sais vraiment pas comment trouver
assez d’assurance pour parler innocemment, ayant eu cette rencontre avec
Deb aujourd’hui, quoique seulement, Dieu le sait, par accident. Mais ma
grande peine est que Dieu Tout-Puissant me mette à l’épreuve de trouver
cette fille, qu’en vérité j’aime, et d’un mauvais amour ;
mais je prierai Dieu pour qu’il me donne la grâce de m’en
passer. »