« Debout, et ma femme toujours
aussi malade le jour qu’elle l’est la nuit ; qui se lèvera pour me
voir partir, me disant carrément qu’elle n’ose pas me laisser voir
la fille ; et suis parti au bureau, où suis resté toute la matinée ; et
retour à la maison pour dîner, où je trouve ma femme de nouveau très
préoccupée, plus que jamais, et me dit que c’est à elle
d’interroger la fille pour lui tirer une confession complète, même pour
le tocando su chose avec ma main
– ce qui me préoccupe vraiment beaucoup car je ne parviens pas à imaginer
les conséquences que ça peut avoir sur notre paix future à tous. Aussi ma femme
n’est pas descendue pour dîner, me reprochant d’être méchant et
parjure, moi ayant nié de l’avoir jamais embrassée – comme aussi
toutes ses anciennes gentillesses pour moi, et de l’avoir maltraitée
depuis le début, et les nombreuses tentations qu’elle avait repoussées du
fait de sa fidélité. »