« Au soir, W. Batelier est venu souper avec nous ; et après souper, me suis fait coiffer par Deb, ce qui m’a causé la plus grande peine que je n’ai jamais connue, car ma femme, arrivant soudainement, m’a trouvé en train d’embrasser la fille con ma main sub su jupe ; et en effet, j’avais ma main sur son minou. J’étais extrêmement embarrassé, et la fille aussi ; et j’ai essayé de la retirer, mais ma femme était frappée de stupeur, la colère montant en elle, et comme sa voix lui revenait, a augmenté dans le plus grand désordre ; je n’ai pratiquement rien dit, et suis allé au lit ; et ma femme n’a pratiquement rien dit non plus, mais n’a pu dormir de toute la nuit ; mais vers deux heures du matin m’a réveillé en pleurant, et en est arrivée à me dire, comme s’il s’agissait d’un grand secret, qu’elle était catholique et avait reçu le Saint Sacrement ; ce qui m’a préoccupé, mais n’en ai pas pris garde, mais d’une chose à l’autre elle a continué jusqu’à ce que, à la fin, il ait été manifeste que son trouble venait de ce qu’elle avait vu ; mais pourtant je ne savais pas exactement ce qu’elle avait vu et de ce fait ne lui ai rien dit. Mais après qu'elle a beaucoup pleuré et m’a reproché mon inconstance et de lui avoir préféré une fille misérable, je n’ai pas cherché à la provoquer mais lui ai promis tout l’honnêteté qu’elle méritait, et l’amour, et ai nié tout mal que je lui avais fait – ce  jusqu’à ce qu’à la fin elle ait semblé de nouveau calmée. »