La précision qu’apporte P. quant à son cri est du narratif, est de l’ordre du récit, comme s’il avait dans l’idée que cela serait lu un jour ; comme s’il se faisait déjà (en pleine conscience) le témoin de son temps. Je rapproche cela des détails qu’à l’époque du premier journal de notes (non adressé à Marcel et donc complètement personnel), je rapportais, détails qui étaient la marque de l’adresse à un lecteur à venir (« A*** frère de B*** », par exemple, ou « Guillemette, ma sœur », précisions qui sont forcément pour un autre que soi). Je peux ajouter à cela les détails ou précisions apportés dans la version publiée actuelle…