Je poursuis, mais distraitement. Quoi que je fasse, je traque la faille et guette les trucs. C’est un véritable texte, une histoire, un roman, mais il me semble qu’il n’était pas nécessaire d’en faire plus de deux cents pages. L’épreuve est remportée haut la main, c’est véritablement un exploit et c’est impressionnant, mais est-il besoin d’en rajouter, de pousser l’expérience « jusqu’au bout » sans que ça ne soit autre chose qu’une expérience ? Et je pense à La Rue dont tout le monde souligne la performance qu’elle représente sans s’attacher au texte. (Tout cela est bien mal formulé.)
5 décembre 2008